Les traducteurs doivent lire la Bible

Récemment j’ai lu le livre “Comment parler en public” par Dale Carnegie. Comme je l’avais en roumain, j’ai choisi de le lire en roumain, mais, j’ai conclu, que désormais, si je voulais lire un livre et que je connaisse la langue dans laquelle l’auteur l’a écrit, je lirais l’original. La traduction du livre Dale Carnegie me semblait bonne jusqu’au moment où l’auteur à commencer à citer la Bible. Depuis ce moment, j’ai regardé d’une manière très suspecte la qualité de l’entière traduction et voilà la cause. Dale Carneigie fait référence au texte suivant du prophète Esaïe :

Si vos péchés sont comme le cramoisi, ils deviendront blancs comme la neige; S’ils sont rouges comme la pourpre, ils deviendront comme la laine. (Esaïe 1:18)

Voilà comment aparait ce texte traduit…

“Même si vos péchés doivent être rouge comme le feu, ils deviendront blancs comme la neige.”

Le sens a été déformé.

 Voilà encore un exemple. La traduction du livre dit :

Quand les apôtres ont demandé à Jésus pourquoi Il leur parlait en paraboles, Il leur répondit: “Parce qu’il peuvent voir sans voir et ils peuvent entendre sans entendre et ne pas comprendre.”

Voilà ce que dit le texte de la Bible :

C’est pourquoi je leur parle en paraboles, parce qu’en voyant ils ne voient point, et qu’en entendant ils n’entendent ni ne comprennent. (Matthieu 13:13)

Chaque chrétien doit lire la Bible systématiquement, mais même s’il n’est pas chrétien, chaque personne instruite, doit lire ce livre qui a influencé la culture et l’art du monde entier.

J’espère que les exemples présentés si dessus sont en mesure de convaincre chaque personne impliquée dans des traductions, de la nécessité de lire et de connaitre la Bible.

L’article a été traduit par Irina Batin.